On entend le son de l’eau qui tombe sur les rochers. GAT nous emmène dans une ambiance humide. Au-delà d’un paysage, on aborde ici la fragilité et la sensibilité humaine. Les craquelures, les fissures, les traces présentes sont une allégorie des cicatrices du vivant. L'œuvre prend du caractère grâce à ces marques qui ajoutent de la puissance. On y comprend la beauté de l’être seulement dans son ensemble.